vendredi 8 août 2008

Le Médecin


L’examen des urines dans un vase de verre ( Uroscope ) est le geste par excellence du médecin de cette époque, appelé MIRE. L’examen du malade se fait aussi en palpant le pouls ou la zone douloureuse.

La SAIGNEE est fréquente et n’avait pour effet que d’affaiblir le malade.

On utilisait largement les plantes. On encourage les médecins à se promener pour herboriser. Les traités de médecine donnent de nombreuses indications sur les plantes et leurs propriétés. Les plus utilisées sont la lavande, la douce amère, le coquelicot, l’armoise, la belladone, le pavot...

Des compositions, bizarres pour certaines, étaient préparées par les Apothicaires.

Les honoraires étaient proportionnels à la fortune des malades et payables tantôt en argent, tantôt en nature. Au riche on prenait 100 livres, tandis qu’au pauvre, on demandait, oie, canard, poule, fromage ou oeufs.

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